Chris Grolleau-Braibant est née en Lorraine, a vécu dans des villages autour de Metz, à Metz, et aujourd'hui à Boulay.
Elle écrit depuis l'âge de 12 ans. Son premier poème dont elle se souvient portait sur les villes tentaculaires aux nombreux gratte-ciels, et où elle pensait qu'aucun coin de verdure ne poussait. Elle est allée naturellement vers l'écriture de la poésie, grâce sans doute au rythme et aux couleurs sonores que lui ont donné la musique et particulièrement le piano.
Elle a écrit quatre livres plutôt de formes poétiques, mais aussi composés de textes en prose. Elle écrit ce qu'elle ressent par rapport à ce qu'elle voit, les sentiments qui l'animent, et surtout ce qu'elle observe dans le monde. Cela peut être un tas de choses, un paysage, des gens, des caractères, la nature, la musique, mais aussi des sujets d'actualité.
La poésie, c'est fixer ce qui se passe dans le monde, être témoin de l'histoire, observer les bouleversements de la société.
Pour elle, écrire, c'est s'intéresser à l'autre, à ce qu'il fait. C'est partager. Les poètes, les écrivains, les peintres ont toujours formé des groupes dans lesquels ils partageaient leurs pensées sur la création.
C'est donner de la douceur et combattre la violence en présentant quelque chose qui relève de la beauté et de l'espoir. Comme le titre de son troisième livre "Un jour de vie".
Et enfin, écrire, c'est aussi établir des correspondances avec le lecteur qui peut se dire : "Moi aussi, j'ai ressenti les mêmes émotions, les mêmes sentiments".
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