Par Aliette SOMOT
Ferme la porte et viens t'asseoir au coin du feu,
Essuie ce pur chagrin débordant de tes yeux,
Va, cet amour d'enfance, légère égratignure,
Rejoindra dans la danse les futures figures ;
Incendie sans chaleur, brûle le feu de bois,
Etincelles de douleur craquèlent et se déploient,
Reste au fond de ton cœur des cendres qui rougeoient.